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| E79 - ENLÈVEMENT DE KORONÉ | | Dimensions (HxL) : | 140x190 cm | | Style : | Figuratif | | Technique : | Acrylique sur toile | | Thème : | - | | Catégorie : | Peinture | | Prix : | 13300 Euros | | Année : | 2007 | | Desc. : | ETRUSQUE / Acrylique sur toile 140 X 190 cm./ Interprétation d’une peinture sur amphore attique à figures rouges d’Euthymidès vers 510 avant J.C. Dans la continuation de la série étrusque toujours très hellénisée, voici une scène longtemps attribuée à Thésée avec la belle Hélène, qu’il aurait également enlevée bien avant la guerre de Troie, comme beaucoup d’autres tout au long de sa vie…En effet, il s’agirait plutôt d’une des plus belles femmes d’Athènes d’alors, dénommée Koroné. Cette attribution toute récente a finalement été confirmée par quelques spécialistes, dont je ne suis évidement pas, artiste oblige ! La scène a bien entendu été personnalisée par votre pasticheur professionnel. A gauche, une rivale bondissante est prête à en découdre avec un poisson comme gourdin. A droite, un mari ou amant éconduit supplie en vain ! Trois vases grecs typiques : une amphore avec un oiseau sur le rebord, un lebes au milieu et un lecythe. Sur la droite le trépied sacré, un chien peut-être menaçant et un oiseau également caractéristique du traité gréco-étrusque. Tableau monogrammé et signé dans son pourtour noir. Amphore : Le plus connu des vases grecs, qui a 20 à 100 cm de haut, et qui était destiné à transporter du vin, des olives, de l’huile ou des condiments. Son nom vient de ce qu’elle est pourvue de deux anses pour être portée. Lébès : 20 à 50 cm de haut et servait à transporter de l’eau. Lécythe : 15 à 50 cm de haut et servait à contenir de l’huile parfumée surtout pour les rites religieux et funéraires. Ce vase était déposé sur la tombe du défunt. Mais l’huile sacrée était excessivement chère, aussi beaucoup de ces lécythes avaient une couche d’argile anormalement épaisse pour avoir la plus petite contenance possible. L’homme a-t-il beaucoup changé depuis ? Trépied sacré : Attribut de la Pythie qui se tenait assise sur le trépied sacré et donnait ainsi des prédictions extatiques plus ou moins incohérentes. Héraclès la consulta sans succès et furieux, vola le trépied. Apollon tenta de le reprendre dans une lutte sans vainqueur, quand Zeus finit par intervenir pour qu’ils se réconcilient. |
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